| Absolu sur la terre, absolu dans les Cieux, |
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| C'est que vous n'aimez rien des choses de la Terre. |
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| C'est un homme à porter en terre dans deux jours. |
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| D'autant que l'incongruité des Humeurs opaques, qui se rencontrent au Tempérament naturel des Femmes, étant cause que la Partie Brutale veut toujours prendre empire sur la Sensitive, on voit que l'inégalité de leurs opinions, dépend du Mouvement oblique, du Cercle de la Lune : et comme le Soleil qui darde ses Rayons sur la Concavité de la Terre, trouve... |
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| En un mot, il languit le pauvre misérable ;
Et s'il faut, poursuivit la vieille charitable,
Que votre cruauté lui refuse un secours,
C'est un homme à porter en terre dans deux jours. |
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| Est-il rien sur la terre, est-il rien dans les Cieux, |
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| Et baisait humblement la terre à tous moments ; |
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| Et chercher sur la Terre, un endroit écarté, |
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| Et trouble dans sa rage et la Terre et les Cieux. |
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| Hé bien, puisque vous voulez que je parle d'autre façon ; souffrez, Madame, que je me mette ici à la place de mon Père ; et que je vous avoue, que je n'ai rien vu dans le monde de si charmant que vous ; que je ne conçois rien d'égal au bonheur de vous plaire ; et que le titre de votre Époux est une gloire, une félicité, que je préférerais aux destinées des plus grands Princes de la Terre. |
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| Ici il pose sa Bouteille à terre, et Valère se baissant pour le saluer, comme il croit que c'est à dessein de la prendre, il la met de l'autre côté : ensuite de quoi, Lucas faisant la même chose, il la reprend, et la tient contre son Estomac avec divers gestes, qui font un grand jeu de théâtre. |
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| Il faudra vous assommer, vous dis-je ; et vous mettrez en terre, et vos Enfants, et les Enfants de vos Enfants. |
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| Il marque les lieux sur sa main, ou à terre. |
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| Il pose sa Lanterne à terre, et lui adresse son compliment. |
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| Je le veux faire, moi, voir à toute la terre. |
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| Je n'ai pas grande peine à le comprendre moi, et si tu connaissais le pèlerin, tu trouverais la chose assez facile pour lui ; je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Done Elvire, je n'en ai point de certitude encore ; tu sais que par son ordre je partis avant lui, et depuis son arrivée, il ne m'a point entretenu ; mais par précaution je t'apprends inter nos, que tu vois en Don Juan mon Maître le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un Diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel ni Saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale, ferme l'oreille à toutes les remontrances Chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons ; tu me dis qu'il a épousé ta Maitresse, crois qu'il aurait plus fait pour contenter sa passion, et qu'avec elle il aurait encore épousé toi, son chien et son chat ; un mariage ne lui coûte rien à contracter, il ne se sert point d'autre piège pour attraper les belles, et c'est un épouseur à toutes mains, Dame, Damoiselle, Bourgeoise, Paysanne ; Il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui, et si je te disais le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusques au soir ; tu demeures surpris et changes de couleur à ce discours ; ce n'est là qu'une ébauche du personnage ; et pour en achever le portrait, il faudrait bien d'autres coups de pinceau : Suffit qu'il faut que le courroux du Ciel l'accable quelque jour, qu'il me vaudrait bien mieux d'être au Diable qu'à lui, et qu'il me fait voir tant d'horreurs que je souhaiterais qu'il fût déjà je ne sais où. |
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| Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde, vous savez ce que vous faites, et si vous ne croyez rien vous avez vos raisons : il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui sont libertins sans savoir pourquoi, qui font les esprits forts parce qu'ils croient que cela leur sied bien, et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais fort nettement, le regardant en face, osez-vous bien ainsi vous jouer du Ciel, et ne tremblez-vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes c'est bien à vous petit ver de terre, petit myrmidon que vous êtes (je parle au maître que j'ai dit) c'est bien à vous à vouloir vous mêler de tourner en raillerie ce que tous les hommes révèrent ; pensez-vous que pour être de qualité, pour avoir une perruque blonde et bien frisée, des plumes à votre chapeau, un habit bien doré, et des rubans couleur de feu (ce n'est pas à vous que je parle, c'est à l'autre) pensez-vous dis-je que vous en soyez plus habile homme, que tout vous soit permis et qu'on n'ose vous dire vos vérités ? |
Question
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| Je savais bien que j'aurais raison de ce diable de Docteur et de toute sa fichue doctrine, au diable l'ignorant, j'ai bien renvoyé toute la science par terre, il faut pourtant que j'aille un peu voir si notre bonne ménagère m'aura fait à souper. |
Comment
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| Je voudrais bien vous demander qui a fait ces orbes-là, ces rochers, cette terre, et ce Ciel que voilà là-haut, et si tout cela s'est bâti de lui-même ; vous voilà vous par exemple, vous êtes là ; est-ce que vous vous êtes fait tout seul, et n'a-t-il pas fallu que votre père ait engrossé votre mère pour vous faire ? |
Question
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| Laissons en paix toute la Terre, |
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| Le Barbouillé, Angélique, Gorgibus, Cathau, Villebrequin parlent tous à la fois voulant dire la cause de la querelle, et le Docteur aussi disant que la paix est une belle chose, et font un bruit confus de leur voix, et pendant tout le bruit, le Barbouillé attache le Docteur par le pied, et le fait tomber ; le Docteur se doit laisser tomber sur le dos, le Barbouillé l'entraîne par la corde qu'il lui a attachée au pied, et en l'entraînant, le Docteur doit toujours parler, et compte par ses doigts toutes ses raisons, comme s'il n'était point à terre, alors qu'il ne paraît plus. |
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| Le voilà par terre : |
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| Le Zéphire enlève les deux Sœurs de Psyché dans un nuage qui descend jusqu'à terre, et dans lequel il les emporte avec rapidité. |
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| Lorsque nous discourant des choses de la terre, |
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| Mais à terre, mon cher, je n'eus pas jeté l'œil, |
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