| Ah, ah, vous voilà donc, sage Gouverneur de Famille, beau Directeur de jeunes Gens. |
Comment
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| cent choses à la fois : L'emportement d'un Père ; les reproches d'une Famille ; les censures du monde ; mais plus que tout, Valère, le changement de votre cœur ; et cette froideur criminelle dont ceux de votre Sexe payent le plus souvent les témoignages trop ardents d'une innocente amour. |
Comment
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| Dont on cacha le sort à toute la famille. |
Comment
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| Elle sort de famille, et noble, et vertueuse, |
Comment
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| Et faire un tel scandale à toute une famille ? |
Question
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| Et la mort de ce fils mis dans votre famille, |
Comment
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| Et leur en vis sans joie accroître ma famille. |
Comment
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| Et pour mettre une joie entière en sa famille, |
Comment
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| et que vous ne reconnaissiez pas le meilleur Ami de toute la Famille des Pourceaugnac ? |
Question
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| et savez-vous le nom, les biens, et la Famille de celui pour qui vous parlez ? |
Question
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| Gorgibus était malade : il faut que je m'informe de sa santé, et que je lui offre mes services comme ami de toute sa famille. |
Comment
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| Il dit que la pluie des prospérités arrose en tout temps le jardin de votre Famille. |
Comment
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| Je dis que le jeune Homme est un pendard, un insolent, qui sera puni par son Père, du tour qu'il lui a fait ; que l'Égyptienne est une malavisée, une impertinente, de dire des injures à un Fomme d'honneur, qui saura lui apprendre à venir ici débaucher les enfants de Famille ; Et que le Valet est un scélérat, qui sera par Géronte envoyé au gibet avant qu'il soit demain. |
Comment
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| Je ne crois pas que vous soyez homme à me tenir longtemps, puisque je vous en prie, j'ai quelques affaires pressantes qui m'appellent à la ville, mais pour remettre la paix dans votre famille, je veux bien m'arrêter un moment. |
Comment
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| Je suis confus des louanges dont vous m'honorez, et je pourrais vous en donner avec
plus de justice sur les merveilles de votre vie ; et principalement sur la gloire que
vous acquîtes, lorsqu'avec tant d'honnêteté vous pipâtes au jeu, pour douze mille
écus, ce jeune Seigneur étranger que l'on mena chez vous ; lorsque vous fîtes
galamment ce faux Contrat qui ruina toute une Famille ; lorsque avec tant de grandeur
d'âme vous sûtes nier le dépôt qu'on vous avait confié ; et que si généreusement on
vous vit prêter votre témoignage à faire pendre ces deux Personnes qui ne l'avaient
pas mérité. |
Comment
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| Je suis devenu là-dessus savant à mes dépens, et connais le style des Nobles lorsqu'ils nous font nous autres entrer dans leur famille. |
Comment
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| Je suis ravi, Monsieur, que votre Fille ait besoin de moi : et je souhaiterais de tout mon cœur, que vous en eussiez besoin, aussi, vous et toute votre Famille, pour vous témoigner l'envie que j'ai de vous servir. |
Comment
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| Je suis votre serviteur, je ne me veux point mettre sur la tête un chapeau comme celui-là, et l'on aime à aller le front levé dans la Famille des Pourceaugnac. |
Comment
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| L'appui du grand crédit, où se voit sa famille ; |
Comment
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| L'honneur de notre famille nous est plus cher que toute chose, et si vous dites vrai, nous la renoncerons pour notre sang, et l'abandonnerons à votre colère. |
Comment
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| Lorsqu'un Homme a commis un Manquement dans sa conduite, soit aux Affaires de sa Famille, ou au Gouvernement d'un État, ou au Commandement d'une Armée, ne dit-on pas toujours, un Tel a fait un mauvais pas dans une telle Affaire ? |
Question
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| Lorsque Naples vous vit quitter votre famille, |
Comment
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| Ma famille en opprobre et misère jetée ; |
Comment
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| Mais aussi ce n'est pas là l'heure de revenir, ne devriez-vous pas comme un bon père de famille, vous retirer de bonne heure et bien vivre avec votre femme ? |
Question
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| Mais le mal de l'affaire était, que mon amant se trouvait dans l'état où l'on voit très souvent la plupart des Fils de Famille, c'est-à-dire qu'il était un peu dénué d'argent ; et il a un père, qui, quoique riche, est un avaricieux fieffé, le plus vilain Homme du Monde. |
Comment
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