| Ah tu me redonnes la vie. |
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| Amant, que j'aime encor cent fois plus que ma vie, |
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| Apprenez, pour vous confondre, qu'il y a seize ans pour le moins, que l'Homme dont vous nous parlez, périt sur Mer avec ses Enfants et sa Femme, en voulant dérober leur vie aux cruelles persécutions qui ont accompagné les désordres de Naples, et qui en firent exiler plusieurs nobles Familles. |
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| Arrêtez vous dis-je, mon frère, je ne souffrirai point du tout qu'on attaque ses jours et je jure le Ciel que je le défendrai ici contre qui que ce soit, je saurai lui faire un rempart de cette même vie qu'il a sauvée, et pour adresser vos coups il faudra que vous me perciez. |
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| Assurément.Votre Père se moque-t-il de vouloir vous anger de son Avocat de Limoges, Monsieur de Pourceaugnac, qu'il n'a vu de sa vie, et qui vient par le Coche vous enlever à notre barbe ? |
Question
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| Au contraire, leur sévérité mystérieuse, et leurs grimaces affectées irritent la censure de tout le monde, contre les actions de leur vie. |
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| Aussi peu ; ne croyez-vous point l'autre vie ? |
Question
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| C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez ; oui Don Juan je sais tous les dérèglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur, et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséricorde, que sa colère redoutable est prête de tomber sur vous, qu'il est en vous de l'éviter par un prompt repentir ; et que peut-être vous n'avez pas encore un jour à vous, pour vous soustraire au plus grand de tous les malheurs ; pour moi je ne tiens plus à vous par un attachement du monde, je suis revenue, grâce au Ciel, de toutes mes folles pensées ; ma retraite est résolue et je ne demande qu'assez de vie pour pouvoir expier la faute que j'ai faite, et mériter, par une austère pénitence, le pardon de l'aveuglement où m'ont plongée les transports d'une passion condamnable : mais dans cette retraite j'aurai une douleur extrême qu'une personne, que j'ai chérie tendrement, devînt un exemple funeste de la justice du Ciel, et ce me sera une joie incroyable, si je puis vous y porter et détourner de dessus votre tête l'épouvantable coup qui vous menace. |
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| Ce serait dans la vie une fâcheuse chose, |
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| Ce sont chagrins mêlés aux plaisirs de la vie. |
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| Cela veut dire que sans la Science, la Vie est presque une image de la Mort. |
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| Chaque instant de ma vie est chargé de souillures, |
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| Comme si j'étais fille à supporter la vie, |
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| Comme une honte due aux crimes de ma vie. |
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| Corbleu, pardonnez-moi, on ne peut point me faire de leçons là-dessus, et j'ai su montrer en ma vie par vingt actions de vigueur, que je ne suis point homme à démordre jamais d'une partie de mes prétentions. |
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| D'avoir toute sa vie une bête avec soi, |
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| D'un bonheur éternel va couronner ma vie. |
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| De dérober sa vie à l'effort de ma rage. |
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| Dois-tu ne te pas croire indigne de la vie, |
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| Eh bien ne savais-je pas bien qu'elle n'était pas si sotte, elle est morte et si elle court comme le cheval de Pacolet, ma foi, elle m'avait fait peur tout de bon, elle a bien fait de gagner au pied, car si je l'eusse trouvée en vie après m'avoir fait cette frayeur-là, je lui aurais apostrophé cinq ou six clystères de coups de pied dans le cul, pour lui apprendre à faire la bête. |
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| Eh peut-on vous aimer, qu'on ne vous aime toute sa vie ? |
Question
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| Est-il l'heure de revenir chez soi, quand le jour est près de paraître, et cette manière de vie est-elle celle que doit suivre un honnête mari ? |
Question
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| Et cette vie, hélas ! |
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| Et dans la vie, enfin, il se faut contenter. |
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| Et j'y sacrifierais et mon Sang, et ma Vie. |
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