| (En cet endroit, il tire Géronte à un bout du théâtre, et lui passant un bras sur les épaules, lui rabat la main sous le menton, avec laquelle il le fait retourner vers lui, lorsqu'il veut regarder ce que sa fille et l'apothicaire font ensemble, lui tenant, cependant, le discours suivant pour l'amuser.) |
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| Certes elle a raison, lorsqu'elle parle ainsi, |
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| Elle ne peut souffrir du tout la vue d'un jeune Homme ; mais elle n'est point plus ravie, dit-elle, que lorsqu'elle peut voir un beau Vieillard avec une barbe majestueuse. |
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| En faut-il d'autre que la scène de cette Agnès, lorsqu'elle dit ce que l'on lui a pris ? |
Question
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| Et ce Monsieur de la Souche, enfin, qu'on nous fait un homme d'esprit, et qui paraît si sérieux en tant d'endroits, ne descend-il point dans quelque chose de trop Comique, et de trop outré au cinquième Acte, lorsqu'il explique à Agnès la violence de son amour avec ces roulements d'yeux extravagants, ces soupirs ridicules, et ces larmes niaises qui font rire tout le monde ? |
Question
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| Et lorsqu'on le revoit, après un peu d'absence, |
Comment
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| Et lorsqu'on parle ici de vous donner à nous, |
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| Et lorsqu'on vient à voir vos célestes appas, |
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| Et lorsqu'on vous oblige à vous tenir heureux, |
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| Et lorsqu'on vous oblige… |
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| Et que, lorsqu'à ses vœux on croit le plus d'obstacle, |
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| Il s'en va ; et lorsqu'il est vers la porte, il se retourne. |
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| Iris, comme vous le voyez, est mis là pour Julie. |
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| J'accepte la proposition, et ne suis point Personne à reculer, lorsqu'on m'attaque d'amitié. |
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| je le quitte maintenant, et je n'y vois plus de remède, lorsqu'on a comme moi épousé une méchante femme, le meilleur parti qu'on puisse prendre, c'est de s'aller jeter dans l'eau la tête la première. |
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| Je ne vois pas quel crime on me peut faire de la passion que j'ai pour votre Fille, et le supplice où vous croyez que je puisse être condamné pour notre engagement, lorsqu'on saura ce que je suis… |
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| Je suis confus des louanges dont vous m'honorez, et je pourrais vous en donner avec
plus de justice sur les merveilles de votre vie ; et principalement sur la gloire que
vous acquîtes, lorsqu'avec tant d'honnêteté vous pipâtes au jeu, pour douze mille
écus, ce jeune Seigneur étranger que l'on mena chez vous ; lorsque vous fîtes
galamment ce faux Contrat qui ruina toute une Famille ; lorsque avec tant de grandeur
d'âme vous sûtes nier le dépôt qu'on vous avait confié ; et que si généreusement on
vous vit prêter votre témoignage à faire pendre ces deux Personnes qui ne l'avaient
pas mérité. |
Comment
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| La mort n'a pas toujours les oreilles ouvertes aux vœux et aux prières de Messieurs les héritiers : et l'on a le temps d'avoir les dents longues, lorsqu'on attend, pour vivre, le trépas de quelqu'un. |
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| Lorsqu'à souffrir vos feux je pourrai me résoudre. |
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| Lorsqu'elle aura quitté quelques provinciales, |
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| Lorsqu'elle est avec moi mariée à demi. |
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| Lorsqu'elle vient me voir, je souffre le Martyre, |
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| Lorsqu'elles vont choisir ces têtes éventées ! |
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| Lorsqu'en favorisant, elle croit s'acquitter. |
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| Lorsqu'il est défendu, devient grâce suprême. |
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