| C'est à moi de m'en taire, à vous de me le dire, |
Comment
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| C'est trop longtemps, Iris, me mettre à la torture,
Et si je suis vos lois, je les blâme tout bas,
De me forcer à taire un tourment que j'endure
Pour déclarer un mal que je ne ressens pas. |
Comment
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| C'est trop longtemps, Iris, me mettre à la torture,
Et si je suis vos lois, je les blâme tout bas,
De me forcer à taire un tourment que j'endure
Pour déclarer un mal que je ne ressens pas. |
Comment
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| Cessez de m'interrompre, et songez à vous taire, |
Comment
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| Croiriez-vous obliger tout le monde à se taire ? |
Question
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| De me forcer à taire un tourment que j'endure |
Comment
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| De me forcer à taire un tourment que j'endure |
Comment
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| Et crois que vous la taire, est vous faire une offense. |
Comment
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| Et je ferai bien mieux peut-être de me taire. |
Comment
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| Je saurai désormais trouver l'art de me taire. |
Comment
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| Ma Bru, l'on est, chez vous, contrainte de se taire ; |
Comment
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| Ma foi, Chevalier, tu ferais mieux de te taire. |
Comment
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| Monsieur, je veux me taire, |
Comment
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| Pensez-y bien, je puis encor me taire. |
Comment
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| Pour l'amour de vous, Monsieur, je n'en dirai rien du tout, et c'est bien la moindre chose que je vous doive, après m'avoir sauvé la vie, que de me taire devant vous d'une personne que vous connaissez, lorsque je ne puis en parler sans en dire du mal ; mais quelque ami que vous lui soyez, j'ose espérer que vous n'approuverez pas son action, et ne trouverez pas étrange que nous cherchions d'en prendre la vengeance. |
Comment
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| Veux-tu te taire ; la voici. |
Comment
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| Voulez-vous vous taire, encore une fois ? |
Question
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| Voulez-vous vous taire, impertinente ? |
Question
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| Vous aviez grande envie de babiller ; et c'est avoir bien de la langue, que de ne pouvoir se taire de ses propres affaires. |
Comment
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