| À détromper mon Père, et lui mettre en plein jour, |
Comment
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| À moi, mon Père ! |
Comment
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| À qui mon Père les a mandées par une Lettre ? |
Question
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| À votre Père ? |
Question
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| À vous dire le vrai, mon Père, je ne puis pas vous promettre d'être bien aise qu'elle devienne ma Belle-Mère. |
Comment
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| A-t-on jamais vu une Fille parler de la sorte à son Père ? |
Question
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| Ah mon fils, que la tendresse d'un père est facilement rappelée, et que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir ! |
Comment
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| Ah mon père |
Comment
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| Ah mon père vous êtes là ! |
Comment
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| Ah mon père, ce que vous dites là est du dernier bourgeois. |
Comment
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| Ah, ah, je vous ferai sentir que je suis père. |
Comment
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| Ah, mon Père, je vous demande par grâce, que je ne sois point séparée de l'aimable Personne que vous voyez : Elle a un mérite, qui vous fera concevoir de l'estime pour elle, quand il sera connu de vous. |
Comment
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| Allez, ne croyez point à Monsieur votre Père, |
Comment
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| Allons il s'agit seulement de désabuser le père et la mère et je pourrai trouver peut-être quelque moyen d y réussir. |
Comment
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| Allons, il faut que sans tarder, j'envoie appeler son père et sa mère, et que cette aventure me serve à me faire séparer d'elle. |
Comment
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| Allons, vous viendrez malgré vous, et je veux vous remettre entre les mains de votre Père. |
Comment
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| Après dix ans d'esclavage, une heureuse fortune nous rendit notre liberté, et nous retournâmes dans Naples, où nous trouvâmes tout notre bien vendu, sans y pouvoir trouver des nouvelles de notre Père. |
Comment
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| Assurément.Votre Père se moque-t-il de vouloir vous anger de son Avocat de Limoges, Monsieur de Pourceaugnac, qu'il n'a vu de sa vie, et qui vient par le Coche vous enlever à notre barbe ? |
Question
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| Attendez ; si nous avions quelque Femme un peu sur l'âge, qui fût de mon talent, et jouât assez bien pour contrefaire une Dame de qualité, par le moyen d'un train fait à la hâte, et d'un bizarre nom de Marquise, ou de Vicomtesse, que nous supposerions de la Basse Bretagne ; j'aurais assez d'adresse pour faire accroire à votre Père que ce serait une Personne riche, outre ses Maisons, de cent mille écus en argent comptant ; qu'elle serait éperdument amoureuse de lui, et souhaiterait de se voir sa femme, jusqu'à lui donner tout son bien par Contrat de mariage ; et je ne doute point qu'il ne prêtât l'oreille à la proposition ; car enfin, il vous aime fort, je le sais : mais il aime un peu plus l'argent ; et quand ébloui de ce leurre, il aurait une fois consenti à ce qui vous touche, il importerait peu ensuite qu'il se désabusât, en venant à vouloir voir clair aux effets de notre Marquise. |
Comment
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| Au moins, Madame, souvenez-vous de votre Rôle ; et pour mieux couvrir notre jeu,
feignez, comme on vous a dit, d'être la plus contente du monde des résolutions de
votre Père. |
Comment
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| Avez-vous jamais vu, Madame, un Diamant plus vif que celui que vous voyez que mon Père a au doigt ? |
Question
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| C'est ce que je veux croire, puisque vous me le dites ; mais du côté du Père, j'y prévois des empêchements. |
Comment
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| C'est de mariage, mon Père, que nous désirons vous parler. |
Comment
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| C'est que de votre père, |
Comment
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| C'est que je m'imagine que c'est mon père que j'entends. |
Comment
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