| À celles où du cœur fait pencher l'habitude. |
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| À ne vous point mentir, je sens que dans mon cœur |
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| A pu blesser mon cœur par une perfidie, |
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| À rompre, de ce Coeur, l'attachement terrible ; |
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| À te revoir, j'ai de la joie au cœur. |
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| À vous ouvrir mon cœur avec plus d'assurance. |
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| Abandonné mon cœur à suivre ses appas, |
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| Adieu, je sens mon cœur qui se gonfle d'ennui, |
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| Affranchisse mon cœur de tous ses déplaisirs. |
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| Afin de vous obliger à m'ouvrir votre cœur, voilà une petite Bague que je vous prie de garder pour l'amour de moi. |
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| Afin que de ce Cœur, le noble sacrifice |
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| Afin que, de mon Coeur, l'éclatant Sacrifice, |
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| Ah le voilà sans doute, et mon cœur me le dit. |
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| Ah Nourrice de mon cœur, je suis ravi de cette rencontre : et votre vue est la Rhubarbe, la Casse et le Séné qui purgent toute la Mélancolie de mon Âme. |
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| Ah s'il ne tient qu'à te prier bien fort, pour obtenir ton aide, je te conjure de tout mon cœur de prendre la conduite de notre Barque. |
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| Ah, Lucile, qu'avec un mot de votre bouche vous savez apaiser de choses dans mon cœur ! |
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| Ainsi mon cœur, Frosine, un peu trop faible, hélas ! |
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| Allons, ferme, mon cœur, point de faiblesse humaine. |
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| Apprenez que ce cœur ne sait point s'abaisser, |
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| Au beau milieu du cœur il faut que je lui donne… |
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| Au cœur qui suit ses étendards, |
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| Au contraire, mon Coeur, pour elle, s'intéresse ; |
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| Au moins, pour moi, je reçois d'étranges secousses, et mon cœur ne tient plus qu'à un filet. |
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| Aux consolations que ton cœur me présente, |
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| Aux droits qu'elle prend sur un cœur |
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