| Après ce rare exploit, je veux que l'on s'apprête |
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| Après l'avoir aidé, jusqu'à l'heure dernière, |
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| Après l'indigne affront que l'on me fait connaître, |
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| Après que je l'ai vu pas plus grand que cela. |
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| Assuré que dans peu vous l'y verrez venir, |
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| Au contraire, Madame, et si l'on était sage, |
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| Au milieu des périls où l'on me fait courir : |
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| Au moins, si l'on vous voit commettre une sottise, |
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| Au reste, mon amour, quand je l'ai fait paraître, |
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| Au travers de toutes vos grimaces, j'ai vu la vérité de ce que l'on m'a dit, et le peu de respect que vous avez pour le nœud qui nous joint. |
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| Aurais-je deviné, quand je l'ai vu petit, |
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| Aussi bien est-ce un sot, il nous a l'autre fois |
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| Aussi l'est-il, et il s'en est fui de chez moi, après y avoir été mis ; mais je vous défends de la part de la Médecine, de procéder au mariage que vous avez conclu, que je ne l'aie dûment préparé pour cela, et mis en état de procréer des Enfants bien conditionnés et de corps et d'esprit. |
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| Aux traits, dont à l'abord vous savez les frapper ; |
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| Avant que de passer plus avant, je voudrais bien agiter à fond cette matière ; et que l'on m'expliquât un Songe que j'ai fait cette Nuit, et qui vient tout à l'heure de me revenir dans l'esprit. |
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| Avec joie il l'y voit manger autant que six ; |
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| Bien que l'on pût avoir des sentiments tout autres, |
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| Bon, voilà l'autre encor digne maître |
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| c'est ainsi que l'on me quitte ? |
Question
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| C'est assez, je sais tout : tu me l'as dit deux fois. |
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| C'est dans le procédé que l'on vous voit tenir, |
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| C'est de cette façon que l'on punit les gens, |
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| C'est en moi que l'on peut trouver fort à reprendre. |
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| C'est l'unique faveur que demande ma flamme. |
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| C'est l'unique moyen de me rendre contente. |
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