| À cent sortes de monde est ouverte à toute heure, |
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| À force de façons, il assomme le Monde ; |
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| À recevoir le Monde, on vous voit toujours prête ? |
Question
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| Adieu rocher, caillou, pierre de taille, et tout ce qu'il y a de plus dur au monde. |
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| Ah, ah, voici une raison la plus belle du monde. |
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| Ah, impertinente que vous êtes, voilà de vos beaux faits ; vous me venez faire des affronts devant tout le monde, et vous chassez de chez moi des Personnes de Qualité. |
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| Ah, n'allons point songer au mal qui nous peut arriver, et songeons seulement à ce qui peut nous donner du plaisir : la personne dont je te parle est une jeune fiancée, la plus agréable du monde, qui a été conduite ici par celui même qu'elle y vient épouser, et le hasard m'a fait voir le couple d'amants trois ou quatre jours avant leur voyage. |
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| Aller en l'autre monde est très grande sottise |
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| Âme du monde enfin n'était lors que nous deux. |
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| Approchez de grâce, et venez me faire raison de l'insolence la plus grande du monde, d'un mari à qui le vin et la jalousie ont troublé de telle sorte la cervelle, qu'il ne sait plus ni ce qu'il dit, ni ce qu'il fait, et vous a lui-même envoyé querir pour vous faire témoins de l'extravagance la plus étrange dont on ait jamais ouï parler. |
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| Attire au bruit qu'il fait les yeux de tout le monde ; |
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| Au contraire, leur sévérité mystérieuse, et leurs grimaces affectées irritent la censure de tout le monde, contre les actions de leur vie. |
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| Au moins, Madame, souvenez-vous de votre Rôle ; et pour mieux couvrir notre jeu,
feignez, comme on vous a dit, d'être la plus contente du monde des résolutions de
votre Père. |
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| Au Monde, qui la quitte, elle veut renoncer ; |
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| Au reste, il n'est pas de ces Médecins qui marchandent les maladies ; c'est un Homme expéditif, expéditif, qui aime à dépêcher ses Malades ; et quand on a à mourir, cela se fait avec lui le plus vite du monde. |
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| Aucune chose au Monde, et plus noble, et plus belle, |
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| Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment vous faites quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujours dit qu'il ne faut jamais croire les Monsieurs, et que vous autres Courtisans vous êtes des enjôleurs qui ne songez qu'à abuser les filles. |
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| Belle croyance, et les beaux articles de foi que voici ; votre religion à ce que je vois, est donc l'arithmétique ; il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que pour avoir étudié on est bien moins sage le plus souvent ; pour moi Monsieur, je n'ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne se saurait vanter de m'avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens et mon petit jugement je vois les choses mieux que tous vos livres, et je comprends fort bien que ce monde, que nous voyons, n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit. |
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| C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez ; oui Don Juan je sais tous les dérèglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur, et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséricorde, que sa colère redoutable est prête de tomber sur vous, qu'il est en vous de l'éviter par un prompt repentir ; et que peut-être vous n'avez pas encore un jour à vous, pour vous soustraire au plus grand de tous les malheurs ; pour moi je ne tiens plus à vous par un attachement du monde, je suis revenue, grâce au Ciel, de toutes mes folles pensées ; ma retraite est résolue et je ne demande qu'assez de vie pour pouvoir expier la faute que j'ai faite, et mériter, par une austère pénitence, le pardon de l'aveuglement où m'ont plongée les transports d'une passion condamnable : mais dans cette retraite j'aurai une douleur extrême qu'une personne, que j'ai chérie tendrement, devînt un exemple funeste de la justice du Ciel, et ce me sera une joie incroyable, si je puis vous y porter et détourner de dessus votre tête l'épouvantable coup qui vous menace. |
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| C'est en vain que vous vous retranchez sur une fausse modestie, on sait dans le monde que vous avez de l'esprit, et je ne vois pas la raison qui vous oblige à cacher les vôtres. |
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| C'est en vain que vous vous retranchez sur une fausse modestie, on sait dans le monde que vous avez de l'esprit, et je ne vois pas la raison qui vous oblige à cacher les vôtres. |
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| C'est être damné dès ce Monde, que d'avoir à plaider ; et la seule pensée d'un Procès serait capable de me faire fuir jusqu'aux Indes. |
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| C'est fort bien fait à vous, et vous le prenez comme il faut, il n'est rien tel en ce monde que de se contenter. |
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| C'est la plus méchante chose du monde. |
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| C'est la plus sotte chose du monde que de se défier d'une femme, et de la tourmenter. |
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