| Apprenez, Maître Jacques, vous, et vos pareils, que c'est un coupe-gorge, qu'une table remplie de trop de viandes ; que pour se bien montrer ami de ceux que l'on invite, il faut que la frugalité règne dans les repas qu'on donne ; et que, suivant le dire d'un Ancien, il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger. |
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| Approchez de grâce, et venez me faire raison de l'insolence la plus grande du monde, d'un mari à qui le vin et la jalousie ont troublé de telle sorte la cervelle, qu'il ne sait plus ni ce qu'il dit, ni ce qu'il fait, et vous a lui-même envoyé querir pour vous faire témoins de l'extravagance la plus étrange dont on ait jamais ouï parler. |
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| Arrêtez, Monsieur, s'il vous plaît ; il est un peu un de mes amis, et ce serait à moi une espèce de lâcheté que d'en ouïr dire du mal. |
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| Assurément ; on est bien aise au moins d'être mort méthodiquement. |
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| Attendez ; si nous avions quelque Femme un peu sur l'âge, qui fût de mon talent, et jouât assez bien pour contrefaire une Dame de qualité, par le moyen d'un train fait à la hâte, et d'un bizarre nom de Marquise, ou de Vicomtesse, que nous supposerions de la Basse Bretagne ; j'aurais assez d'adresse pour faire accroire à votre Père que ce serait une Personne riche, outre ses Maisons, de cent mille écus en argent comptant ; qu'elle serait éperdument amoureuse de lui, et souhaiterait de se voir sa femme, jusqu'à lui donner tout son bien par Contrat de mariage ; et je ne doute point qu'il ne prêtât l'oreille à la proposition ; car enfin, il vous aime fort, je le sais : mais il aime un peu plus l'argent ; et quand ébloui de ce leurre, il aurait une fois consenti à ce qui vous touche, il importerait peu ensuite qu'il se désabusât, en venant à vouloir voir clair aux effets de notre Marquise. |
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| Attendez qu'on vous en demande plus d'une fois, et vous ressouvenez de porter toujours beaucoup d'eau. |
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| Au moins, Madame, souvenez-vous de votre Rôle ; et pour mieux couvrir notre jeu,
feignez, comme on vous a dit, d'être la plus contente du monde des résolutions de
votre Père. |
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| Au retour d'un cheval amené pour le Roi. |
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| Au retour d'un Époux, qu'on aime avec tendresse ? |
Question
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| Au secret que j'ai fait d'une telle visite ; |
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| Battre un Homme à jeu sûr, n'est pas d'une belle Âme ; |
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| Bonsoir, car tout d'un temps, je vais me renfermer. |
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| Bref, comme je voudrais, d'une âme franche et pure, |
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| C'est à moi, tout d'un coup, de vous en affranchir ; |
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| C'est à vous d'en sortir, vous qui parlez en Maître. |
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| C'est avec d'autres yeux que ne fait la Princesse, |
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| C'est d'être Sosie battu. |
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| C'est être damné dès ce Monde, que d'avoir à plaider ; et la seule pensée d'un Procès serait capable de me faire fuir jusqu'aux Indes. |
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| C'est être libertin, que d'avoir de bons yeux ; |
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| C'est là ce qu'il faudrait ; mais le diantre est d'en pouvoir trouver les moyens. |
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| C'est me vouloir du Bien d'une étrange manière ! |
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| C'est merveilleusement assaisonner la bonne chère, que d'y mêler la Musique, et je me vois ici admirablement régalée. |
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| C'est un chef-d'œuvre, que d'avoir inventé un Habit sérieux, qui ne fût pas noir ; et je le donne en six coups aux Tailleurs les plus éclairés. |
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| C'est un crime, que d'en douter. |
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| Ça n'est pas honnête, Mathurine, d'être jalouse que Monsieur me parle. |
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