| À Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pensée d'ajouter rien à ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les symptômes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le devînt, pour la beauté des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. |
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| Allez, venez me reprendre tantôt, pour aller au Louvre au petit coucher. |
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| Allons, ma Fille, venez chez moi. |
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| Allons, venez, ma fille, que votre mari vous demande pardon. |
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| Allons, venez. |
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| Allons, venez. |
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| Approchez de grâce, et venez me faire raison de l'insolence la plus grande du monde, d'un mari à qui le vin et la jalousie ont troublé de telle sorte la cervelle, qu'il ne sait plus ni ce qu'il dit, ni ce qu'il fait, et vous a lui-même envoyé querir pour vous faire témoins de l'extravagance la plus étrange dont on ait jamais ouï parler. |
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| Cela ne peut se différer, et si vous tardez un quart d'heure le bal sera fini dans un moment, et vous n'aurez pas le bien d'y voir celle que vous aimez, si vous n'y venez tout présentement. |
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| De tout ce que pour vous, vous y venez de lire. |
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| Et tous ces autres gens dont vous venez parler ; |
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| Et vous venez là de dire |
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| Hé dites-moi un peu, s'il vous plaît, vous venez de là-dedans. |
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| Holà, Messieurs, venez donc tôt. |
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| Il n'importe, allons, vous autres venez, accompagnez sa voix. |
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| je ne me souviens plus déjà de tous les déplaisirs que vous m'avez donnés, et tout est effacé par les paroles que vous venez de me faire entendre ; je ne me sens pas, je l'avoue, je jette des larmes de joie, tous mes vœux sont satisfaits, et je n'ai plus rien désormais à demander au Ciel ; embrassez-moi et persistez je vous conjure dans cette louable pensée ; pour moi je m'en vais tout de ce pas porter l'heureuse nouvelle à votre mère, partager avec elle les doux transports de ravissement où je suis, et rendre grâce au Ciel des saintes résolutions qu'il a daigné vous inspirer. |
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| Laissez-moi faire ; s'il est un homme facile, comme vous le dites, je vous réponds de tout ; venez seulement me faire avoir un habit de médecin, et m'instruire de ce qu'il faut faire, et me donner mes licences, qui sont les dix pistoles promises. |
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| Laissez, ma Bru, laissez ; ne venez pas plus loin ; |
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| Laquais donc, et non pas Criquet, venez parler à Madame. |
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| Laquais donc, et non pas Criquet, venez parler à Madame. |
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| Mais l'arrivée de ma Fille trouvera les choses mal disposées à ce que nous nous proposions ; et ce que vous venez de m'apprendre de votre Fils, rompt étrangement les mesures que nous avions prises ensemble. |
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| Non, pour vous dire la chose en deux mots, je m'appelle Léandre, qui suis amoureux de Lucinde, que vous venez de visiter : et comme, par la mauvaise humeur, de son Père, toute sorte d'accès m'est fermé auprès d'elle, Je me hasarde à vous prier de vouloir servir mon amour : et de me donner lieu d'exécuter un Stratagème que j'ai trouvé, pour lui pouvoir dire deux mots, d'où dépendent, absolument, mon bonheur, et ma vie. |
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| Oui, venez avec moi, je vous ferai parler à elle. |
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| Quelles Drogues, Monsieur, sont celles que vous venez de dire ? |
Question
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| Savez-vous bien que vous venez de parler là au Père de votre Amant ? |
Question
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| Suivez-moi, ma Fille, et venez dire résolument à votre Père, que si vous ne l'avez, vous ne voulez épouser personne. |
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