| À voir de tous côtés, s'il ne se passe rien, |
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| Ah s'il ne tient qu'à te prier bien fort, pour obtenir ton aide, je te conjure de tout mon cœur de prendre la conduite de notre Barque. |
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| Ah, Maître Jacques, tu lui peux assurer, que s'il m'accorde Mariane, il me verra toujours le plus soumis de tous les hommes ; et que jamais je ne ferai aucune chose que par ses volontés. |
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| Apprenez, s'il vous plaît, que ce n'est pas à vous à vous servir de ce mot-là avec une personne de ma condition ; Que tout notre gendre que vous soyez, il y a grande différence de vous à nous, et que vous devez vous connaître. |
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| Arrêtez, Monsieur, s'il vous plaît ; il est un peu un de mes amis, et ce serait à moi une espèce de lâcheté que d'en ouïr dire du mal. |
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| Arrêtez, s'il vous plaît, Monsieur. |
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| Attendez donc, s'il vous plaît. |
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| Attendez un peu, s'il vous plaît. |
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| Au contraire, c'est une visite dont je lui veux faire civilité, et qu'il doit recevoir de bonne grâce, s'il est galant homme ; allons, entrons dedans. |
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| Au plus beau des Portraits où lui-même il s'est peint. |
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| Aucun ne s'en défend, aucun ne s'en rebute : |
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| Aussi l'est-il, et il s'en est fui de chez moi, après y avoir été mis ; mais je vous défends de la part de la Médecine, de procéder au mariage que vous avez conclu, que je ne l'aie dûment préparé pour cela, et mis en état de procréer des Enfants bien conditionnés et de corps et d'esprit. |
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| Brisons-là, s'il vous plaît. |
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| Brisons-là, s'il vous plaît. |
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| C'est à vous, s'il vous plaît, que ce discours s'adresse. |
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| C'est de moi, s'il vous plaît, que vient toute l'offense. |
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| C'est prendre trop de soin ; taisez-vous, s'il vous plaît. |
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| c'est qu'il faut songer, s'il vous plaît, à vous défaire de votre amour ; à cesser toutes vos poursuites auprès d'une Personne que je prétends pour moi ; et à vous marier dans peu avec celle qu'on vous destine. |
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| C'est un extravagant, qui s'est mis dans la tête de vouloir faire l'homme de condition. |
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| C'est une chose terrible, il faut que je lui sois fidèle en dépit que j'en aie ; la crainte en moi fait l'office du zèle, bride mes sentiments et me réduit à la complaisance d'applaudir bien souvent à ce que mon âme déteste ; le voila qui vient se promener dans ce Palais, séparons nous ; écoute, au moins je te fais confidence avec grande franchise, et cela m'est sorti un peu bien vite de la bouche ; mais s'il fallait qu'il en vînt quelque chose à ses oreilles, je dirais hautement que tu aurais menti. |
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| Car enfin, s'il est vrai ce que j'en ose croire, |
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| Car enfin, s'ils ont lieu, nous voilà réduits à ne nous plus croire ; nos propres sens seront esclaves en toutes choses ; et jusques au manger et au boire, nous n'oserons plus trouver rien de bon, sans le congé de messieurs les experts. |
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| Car je ne gagnerais rien à parler, et jamais il ne s'est rien vu d'égal à ma disgrâce. |
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| Car pour Monsieur votre Vicomte, quoique Vicomte de Province, c'est toujours un Vicomte, et il peut faire un voyage à Paris, s'il n'en a point fait ; mais un Conseiller, et un Receveur, sont des Amants un peu bien minces, pour une grande Comtesse comme vous. |
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| Car pour Monsieur votre Vicomte, quoique Vicomte de Province, c'est toujours un Vicomte, et il peut faire un voyage à Paris, s'il n'en a point fait ; mais un Conseiller, et un Receveur, sont des Amants un peu bien minces, pour une grande Comtesse comme vous. |
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