| Et, plût au Ciel, le fût-il moins ! |
Comment
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| Fût-ce mon propre frère, il me la payerait ; |
Comment
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| Fût-elle la tienne, tu changerais bien de langage. |
Comment
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| fût-il bien endormi. |
Comment
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| Fut-il jamais au monde un esprit moins sensé ! |
Comment
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| Fut-il jamais au monde un plus heureux garçon ! |
Comment
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| Fut-il jamais destin plus brouillé que le nôtre ! |
Comment
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| Lorsque je m'en allai, fut-elle triste après ? |
Question
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| Lui fût-elle engagée encore davantage, |
Comment
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| Mes yeux pouvaient revoir, ne fût-ce qu'un moment, |
Comment
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| Ne fût-ce que pour l'heur d'avoir qui vous salue |
Comment
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| Tu es donc, Marquis, de ces Messieurs du bel air, qui ne veulent pas que le Parterre ait du sens commun, et qui seraient fâchés d'avoir ri avec lui, fût-ce de la meilleure chose du monde ? |
Question
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