| Au travers de toutes vos grimaces, j'ai vu la vérité de ce que l'on m'a dit, et le peu de respect que vous avez pour le nœud qui nous joint. |
Comment
|
| Aurais-je pris la chose ainsi qu'on m'a vu faire, |
Comment
|
| Aussi je m'en contente, et jamais, en effet, |
Comment
|
| Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment vous faites quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujours dit qu'il ne faut jamais croire les Monsieurs, et que vous autres Courtisans vous êtes des enjôleurs qui ne songez qu'à abuser les filles. |
Comment
|
| Avisez, ordonnez vous-même ; je m'en remets à vous ; et je vous crois trop raisonnable, pour vouloir exiger de moi, que ce qui peut m'être permis par l'honneur et la bienséance. |
Comment
|
| Belle croyance, et les beaux articles de foi que voici ; votre religion à ce que je vois, est donc l'arithmétique ; il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que pour avoir étudié on est bien moins sage le plus souvent ; pour moi Monsieur, je n'ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne se saurait vanter de m'avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens et mon petit jugement je vois les choses mieux que tous vos livres, et je comprends fort bien que ce monde, que nous voyons, n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit. |
Comment
|
| Bien plus que ce qu'ils m'ont donné. |
Comment
|
| Bien qu'il m'ait voulu perdre, un point d'honneur me presse |
Comment
|
| C'est à moi de m'en taire, à vous de me le dire, |
Comment
|
| C'est bien assez, pour moi, qu'il m'a désabusé, |
Comment
|
| C'est bien mon intention ; et que tu me restitues ce que tu m'as ravi. |
Comment
|
| C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez ; oui Don Juan je sais tous les dérèglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur, et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséricorde, que sa colère redoutable est prête de tomber sur vous, qu'il est en vous de l'éviter par un prompt repentir ; et que peut-être vous n'avez pas encore un jour à vous, pour vous soustraire au plus grand de tous les malheurs ; pour moi je ne tiens plus à vous par un attachement du monde, je suis revenue, grâce au Ciel, de toutes mes folles pensées ; ma retraite est résolue et je ne demande qu'assez de vie pour pouvoir expier la faute que j'ai faite, et mériter, par une austère pénitence, le pardon de l'aveuglement où m'ont plongée les transports d'une passion condamnable : mais dans cette retraite j'aurai une douleur extrême qu'une personne, que j'ai chérie tendrement, devînt un exemple funeste de la justice du Ciel, et ce me sera une joie incroyable, si je puis vous y porter et détourner de dessus votre tête l'épouvantable coup qui vous menace. |
Comment
|
| C'est ce que m'a dit mon Tailleur ; l'habit est propre et riche, et il fera du bruit ici. |
Comment
|
| C'est fort bien dit à vous ; et si vous m'en croyez, vous ne souffrirez point qu'il se marie, que vous ne l'ayez pansé tout votre soûl. |
Comment
|
| C'est la fidélité que tu m'avais promise ? |
Question
|
| C'est le signal que m'a donné Claudine. |
Comment
|
| C'est par son trop d'amour qu'il m'avait outragée. |
Comment
|
| C'est qu'il m'a marié sans m'en écrire rien, |
Comment
|
| C'est toi, Pendard, qui m'as bu mon Vin d'Espagne, et qui as été cause que j'ai tant querellé la Servante, croyant que c'était elle qui m'avait fait le tour ? |
Question
|
| C'est toi, qui m'as traité ainsi. |
Comment
|
| C'est un mal qui m'a pris assez subitement. |
Comment
|
| C'est un miracle encor, qu'il ne m'ait aujourd'hui |
Comment
|
| C'est une chose que je refuserais à tout autre qu'à vous : mais pour vous montrer que je veux tout faire pour l'amour de vous, je m'y résous, quoique avec peine, et veux auparavant qu'il vous demande pardon de toutes les peines qu'il vous a données.
- Oui, Monsieur Gorgibus, je vous demande pardon de vous avoir tant importuné, et vous promets, mon frère, en présence de M. |
Comment
|
| C'est une chose qui m'est impossible. |
Comment
|
| C'est une chose terrible, il faut que je lui sois fidèle en dépit que j'en aie ; la crainte en moi fait l'office du zèle, bride mes sentiments et me réduit à la complaisance d'applaudir bien souvent à ce que mon âme déteste ; le voila qui vient se promener dans ce Palais, séparons nous ; écoute, au moins je te fais confidence avec grande franchise, et cela m'est sorti un peu bien vite de la bouche ; mais s'il fallait qu'il en vînt quelque chose à ses oreilles, je dirais hautement que tu aurais menti. |
Comment
|