| Aga, quien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drai comme cela est venu ça, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai ; enfin donc j'équions sur le bord de la mar, mo et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avé des mottes de tarre, que je nous jesquions à la tête ; car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi per fois je batifole i tou ; en batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aperçu de tout loin queuque chose qui grouillait dans glieau, et qui venait comme envars nous per secousse, je voyais ça fisiblement, et pis tout d'un coup je voyais que je ne voyais plus rien ; eh Lucas ! ç'ay je fait, je pense que vlà des hommes qui nageant là-bas ; voire ce m'a-t-il fait, t'as été au trepassement d'un chat, t'as la vue trouble ; pal sanguienne, ç'ai je fait, je n'ai point la vue trouble, ce sont des hommes ; point du tout ce m'a-t-il fait, t'as la barlue ; veux tu gager, ç'ai je fait, que je n'ai point la barlue, ç'ai je fait, et que ce sont des hommes, ç'ai je fait qui nageant drai ici, ç'ai je fait ; morguenne ce m'a-t-il fait, je gage que non ; o ça ç'ai je fait, veux tu gager dix sols que si ? |
Question
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| Ah le voilà venu, je m'étonnais bien si nous aurions longtemps du repos. |
Comment
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| Avec empressement je suis venu lui dire, |
Comment
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| Belle croyance, et les beaux articles de foi que voici ; votre religion à ce que je vois, est donc l'arithmétique ; il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que pour avoir étudié on est bien moins sage le plus souvent ; pour moi Monsieur, je n'ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne se saurait vanter de m'avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens et mon petit jugement je vois les choses mieux que tous vos livres, et je comprends fort bien que ce monde, que nous voyons, n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit. |
Comment
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| Ce moment est venu qu'il faut que votre bouche |
Comment
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| Celui qui maintenant devers vous est venu |
Comment
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| Cher Marquis, et d'abord je suis à toi venu. |
Comment
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| Comment, il n'est pas vrai que je suis venu ? |
Question
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| Dont tu m'as su traiter, étant venu du Port ? |
Question
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| Du trait qu'elle a joué quelque jour soit venu. |
Comment
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| Est venu lui porter la fâcheuse nouvelle, |
Comment
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| Est venu me donner un bonjour surprenant. |
Comment
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| Est venu nous laisser, jusque dans la Cuisine, |
Comment
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| Est venu vous chercher avec empressement ; |
Comment
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| Et c'est de leurs regards qu'est venu tout son mal. |
Comment
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| Et j'étais venu, je vous jure, |
Comment
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| Il est vrai qu'il y est venu, mais c'est assez pour lui de savoir que vous n'y étiez pas pour l'obliger à sortir. |
Comment
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| Il est vrai qu'il y est venu, mais c'est assez pour lui de savoir que vous n'y étiez pas pour l'obliger à sortir. |
Comment
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| Il m'est venu, depuis un moment, de petits scrupules sur le mariage. |
Comment
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| Je crois, Monsieur, que vous êtes le Médecin à qui l'on est venu parler de ma part. |
Comment
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| Je veux dire, que je ne trouve point étrange que vous vous rendiez au mérite de Monsieur le Vicomte, vous n'êtes pas la première Femme qui joue dans le monde de ces sortes de caractères, et qui ait auprès d'elle un Monsieur le Receveur, dont on lui voit trahir, et la passion, et la bourse pour le premier venu qui lui donnera dans la vue ; mais ne trouvez point étrange aussi que je ne sois point la dupe d'une infidélité si ordinaire aux coquettes du temps, et que je vienne vous assurer devant bonne compagnie, que je romps commerce avec vous, et que Monsieur le Receveur ne sera plus pour vous Monsieur le donneur. |
Comment
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| Je vous avoue, Madame, que je n'ai point le talent de dissimuler, et que je porte un cœur sincère, je ne vous dirai point que je suis toujours dans les mêmes sentiments pour vous, et que je brûle de vous rejoindre, puisqu'enfin il est assuré que je ne suis parti que pour vous fuir, non point pour les raisons que vous pouvez vous figurer, mais par un pur motif de conscience, et pour ne croire pas qu'avec vous davantage je puisse vivre sans péché ; il m'est venu des scrupules Madame, et j'ai ouvert les yeux de l'âme sur ce que je faisais, j'ai fait réflexion que pour vous épouser je vous ai dérobée à la clôture d'un convent, que vous avez rompu des vœux qui vous engageaient autre part, et que le Ciel est fort jaloux de ces sortes de choses. |
Comment
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| Monsieur, je suis votre serviteur ; j'étais venu. |
Comment
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| Morbleu, Monsieur le nouveau venu, qui faites l'Homme d'importance, ce n'est pas votre affaire. |
Comment
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| Non, dit-elle, vos yeux ont fait ce coup fatal,
Et c'est de leurs regards qu'est venu tout son mal. |
Comment
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