| À voir ce que je vois, je ne sais plus que dire, |
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| Ah que j'en sais, belle Nourrice, et qui ne sont pas loin d'ici, qui se tiendraient heureux de baiser, seulement, les petits bouts de vos Petons. |
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| Attendez ; si nous avions quelque Femme un peu sur l'âge, qui fût de mon talent, et jouât assez bien pour contrefaire une Dame de qualité, par le moyen d'un train fait à la hâte, et d'un bizarre nom de Marquise, ou de Vicomtesse, que nous supposerions de la Basse Bretagne ; j'aurais assez d'adresse pour faire accroire à votre Père que ce serait une Personne riche, outre ses Maisons, de cent mille écus en argent comptant ; qu'elle serait éperdument amoureuse de lui, et souhaiterait de se voir sa femme, jusqu'à lui donner tout son bien par Contrat de mariage ; et je ne doute point qu'il ne prêtât l'oreille à la proposition ; car enfin, il vous aime fort, je le sais : mais il aime un peu plus l'argent ; et quand ébloui de ce leurre, il aurait une fois consenti à ce qui vous touche, il importerait peu ensuite qu'il se désabusât, en venant à vouloir voir clair aux effets de notre Marquise. |
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| Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment vous faites quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujours dit qu'il ne faut jamais croire les Monsieurs, et que vous autres Courtisans vous êtes des enjôleurs qui ne songez qu'à abuser les filles. |
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| C'est à elle à m'obéir, et je sais me montrer le Maître. |
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| C'est assez, je sais tout : tu me l'as dit deux fois. |
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| C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez ; oui Don Juan je sais tous les dérèglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur, et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséricorde, que sa colère redoutable est prête de tomber sur vous, qu'il est en vous de l'éviter par un prompt repentir ; et que peut-être vous n'avez pas encore un jour à vous, pour vous soustraire au plus grand de tous les malheurs ; pour moi je ne tiens plus à vous par un attachement du monde, je suis revenue, grâce au Ciel, de toutes mes folles pensées ; ma retraite est résolue et je ne demande qu'assez de vie pour pouvoir expier la faute que j'ai faite, et mériter, par une austère pénitence, le pardon de l'aveuglement où m'ont plongée les transports d'une passion condamnable : mais dans cette retraite j'aurai une douleur extrême qu'une personne, que j'ai chérie tendrement, devînt un exemple funeste de la justice du Ciel, et ce me sera une joie incroyable, si je puis vous y porter et détourner de dessus votre tête l'épouvantable coup qui vous menace. |
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| C'est de lui que je sais ce que je puis savoir, |
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| C'est une chose moi dont je ne demeure pas d'accord de l'avoir à tort accusé, et je sais bien ce que j'en pense. |
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| C'est une Maladie qui la tient : et je sais le Remède qu'il y faut apporter. |
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| Ce sont des Chansons que cela ; je sais ce que je sais. |
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| Cela serait commode, et j'en sais tel ici |
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| Celui-ci, que l'on vous surprit une nuit, en venant dérober vous-même l'avoine de vos Chevaux ; et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans l'obscurité je ne sais combien de coups de bâton dont vous ne voulûtes rien dire. |
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| Certain je ne sais quoi, dont je suis toute émue. |
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| Certes, je ne sais pas quelle chaleur vous monte : |
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| Dans ces divers transports je ne sais que répondre, |
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| Dans toute sa personne, il a je ne sais quoi, |
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| De l'humeur que je sais la chère Marinette, |
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| De plus, elle a une aversion horrible pour le jeu, ce qui n'est pas commun aux Femmes d'aujourd'hui ; et j'en sais une de nos quartiers, qui a perdu à trente-et-quarante, vingt mille francs cette année. |
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| Douze hommes à cheval vous cherchent, qui doivent arriver ici dans un moment ; je ne sais pas par quel moyen ils peuvent vous avoir suivi, mais j'ai appris cette nouvelle d'un paysan qu'ils ont interrogé, et auquel ils vous ont dépeint ; l'affaire presse, et le plutôt que vous pourrez sortir d'ici sera le meilleur. |
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| Elle est froide partout, et je ne sais qu'en dire, |
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| Elle m'a dit de lui dire… attendez, je ne sais si je me souviendrai bien de tout cela. |
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| En Confident discret je sais ce qu'il faut faire |
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| Enfin j'ai vu le monde, et j'en sais les finesses. |
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| Et ce sont de ces Gens qui, je ne sais comment, |
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