| À Finaut, à Finaut : j'en revois à plaisir, |
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| À lui j'ai de mon âme attaché la tendresse, |
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| À Mascarille lors j'ai couru tout conter, |
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| À son exemple aussi j'en rirai tout mon soûl ; |
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| À te revoir, j'ai de la joie au cœur. |
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| A tout ce que j'y vois de plus considérable. |
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| Adieu ; j'en suis content. |
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| Adieu ; j'en suis content. |
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| Adieu, Monsieur, j'avais toutes les ardeurs du monde d'entrer dans votre Alliance ; j'ai fait tout ce que j'ai pu pour obtenir un tel honneur, mais j'ai été malheureux, et vous ne m'avez pas jugé digne de cette grâce. |
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| Aga, quien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drai comme cela est venu ça, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai ; enfin donc j'équions sur le bord de la mar, mo et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avé des mottes de tarre, que je nous jesquions à la tête ; car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi per fois je batifole i tou ; en batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aperçu de tout loin queuque chose qui grouillait dans glieau, et qui venait comme envars nous per secousse, je voyais ça fisiblement, et pis tout d'un coup je voyais que je ne voyais plus rien ; eh Lucas ! ç'ay je fait, je pense que vlà des hommes qui nageant là-bas ; voire ce m'a-t-il fait, t'as été au trepassement d'un chat, t'as la vue trouble ; pal sanguienne, ç'ai je fait, je n'ai point la vue trouble, ce sont des hommes ; point du tout ce m'a-t-il fait, t'as la barlue ; veux tu gager, ç'ai je fait, que je n'ai point la barlue, ç'ai je fait, et que ce sont des hommes, ç'ai je fait qui nageant drai ici, ç'ai je fait ; morguenne ce m'a-t-il fait, je gage que non ; o ça ç'ai je fait, veux tu gager dix sols que si ? |
Question
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| Ah que j'en sais, belle Nourrice, et qui ne sont pas loin d'ici, qui se tiendraient heureux de baiser, seulement, les petits bouts de vos Petons. |
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| Ah que j'en suis ravie ! |
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| Ah vous voilà, Monsieur le babillard, à qui j'avais tant recommandé de ne point parler, et qui me l'aviez tant promis. |
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| Ah, ah, j'apprends ici de jolies choses, et j'ai un Serviteur fort fidèle vraiment. |
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| Ah, Monsieur Dimanche, approchez ; que je suis ravi de vous voir, et que je veux de mal à mes gens de ne vous pas faire entrer d'abord ; j'avais donné ordre qu'on ne me fît parler à personne, mais cet ordre n'est pas pour vous, et vous êtes en droit de ne trouver jamais de porte fermée chez moi. |
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| Ah, parbleu, j'en suis ravi. |
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| Ah, tu as raison, je ne songeais pas que c'était de ce côté qu'il était, tout le monde m'a dit des merveilles de cet ouvrage, aussi bien que de la statue du Commandeur, et j'ai envie de l'aller voir. |
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| Ahi, ahi, ahi, doucement ; Dieu me damne, Mesdames, c'est fort mal en user ; j'ai à me plaindre de votre procédé ; cela n'est pas honnête. |
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| Allez, encore un coup, j'y vais mettre la main. |
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| Allez, j'ai votre affaire ici. |
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| Allez, j'étais trop Dupe, et je vais ne plus l'être. |
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| Allons mets-toi là, mange, j'ai affaire de toi quand j'aurai soupé, tu as faim à ce que je vois. |
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| Allons, Monsieur, vous m'avez donné pour votre amour, une Tendresse qui n'est pas concevable : et j'y perdrai toute ma Médecine, ou la Malade crèvera, ou bien elle sera à vous. |
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| Anselme avait l'esclave, et j'en étais frustré. |
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| Apprenez-moi comme il faut faire une Révérence pour saluer une Marquise ; j'en aurai besoin tantôt. |
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