| À quelle heure, Monsieur Bobinet, êtes-vous parti d'Escarbagnas, avec mon Fils le Comte ? |
Question
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| À quelle heure, Monsieur Bobinet, êtes-vous parti d'Escarbagnas, avec mon Fils le Comte ? |
Question
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| À son Fils. |
Comment
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| À son Fils. |
Comment
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| À son Fils. |
Comment
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| À son Fils. |
Comment
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| Ah mon fils, que la tendresse d'un père est facilement rappelée, et que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir ! |
Comment
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| Ah pourquoi faut-il qu'il soit Fils unique ! |
Comment
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| Aux prières, aux pleurs d'un Fils à vos genoux. |
Comment
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| Avec le Fils du Grand Turc ! |
Comment
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| C'est à vous, Monsieur, d'aviser promptement aux moyens de sauver des fers un Fils que vous aimez avec tant de tendresse. |
Comment
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| C'est là votre Fils ? |
Question
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| C'est Monsieur votre frère, et non pas Monsieur votre Fils. |
Comment
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| C'est Monsieur votre frère, et non pas Monsieur votre Fils. |
Comment
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| C'est votre Fils, vous savez son pouvoir, |
Comment
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| Cent fois plus qu'il ne fait Mère, Fils, Fille, et Femme. |
Comment
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| Chez toi, doit naître un Fils, qui sous le nom d'Hercule, |
Comment
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| Comme un tel fils est né d'un père de la sorte, |
Comment
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| Comment se portent mes deux autres Fils, le Marquis, et le Commandeur ? |
Question
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| Comment se portent mes deux autres Fils, le Marquis, et le Commandeur ? |
Question
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| Comment, mon Fils, trouvez-vous cette Fille ? |
Question
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| D'avoir depuis Bologne accompagné ce fils, |
Comment
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| De beaux portraits de Saturne, du Roi Priam, du vieux Nestor, et du bon Père Anchise sur les épaules de son Fils. |
Comment
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| De vous et de son Fils. |
Comment
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| Des tendres sentiments où nous jette son fils. |
Comment
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