| À ce dont on n'est pas le Maître. |
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| À connaître sa main, n'ait trop su vous instruire : |
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| À n'en plus redouter l'affront d'une rechute. |
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| À nul fâcheux débat jamais vous n'en viendrez, |
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| À qui je n'ai rien fait, qu'être sincère, et franc ! |
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| À vos Déloyautés, n'ont rien de comparable : |
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| À vous dire le vrai, je n'ai pu m'en défendre. |
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| Acciam croc soler ouch alla moustaph gidelum amanahem varahini oussere carbulath, c'est-à-dire ; N'as-tu point vu une jeune belle personne, qui est la fille de Monsieur Jourdain, gentilhomme parisien ? |
Question
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| Acquérir de la gloire, où le vôtre n'est pas. |
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| Adieu, il me tarde déjà que je n'aie des Habits raisonnables, pour quitter vite ces guenilles. |
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| Aga, quien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drai comme cela est venu ça, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai ; enfin donc j'équions sur le bord de la mar, mo et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avé des mottes de tarre, que je nous jesquions à la tête ; car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi per fois je batifole i tou ; en batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aperçu de tout loin queuque chose qui grouillait dans glieau, et qui venait comme envars nous per secousse, je voyais ça fisiblement, et pis tout d'un coup je voyais que je ne voyais plus rien ; eh Lucas ! ç'ay je fait, je pense que vlà des hommes qui nageant là-bas ; voire ce m'a-t-il fait, t'as été au trepassement d'un chat, t'as la vue trouble ; pal sanguienne, ç'ai je fait, je n'ai point la vue trouble, ce sont des hommes ; point du tout ce m'a-t-il fait, t'as la barlue ; veux tu gager, ç'ai je fait, que je n'ai point la barlue, ç'ai je fait, et que ce sont des hommes, ç'ai je fait qui nageant drai ici, ç'ai je fait ; morguenne ce m'a-t-il fait, je gage que non ; o ça ç'ai je fait, veux tu gager dix sols que si ? |
Question
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| Ah ! |
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| Ah ! |
Comment
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| Ah Ah, n'est-ce que ça ? |
Question
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| Ah je n'en pis plus, je sis toute essoflée. |
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| Ah je te promets bien, que je n'ai pas envie, |
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| Ah que n'ai-je étudié plus tôt, pour savoir tout cela. |
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| Ah scélérat, c'est maintenant que je te connais tout entier, et pour mon malheur je te connais lors qu'il n'en est plus temps, et qu'une telle connaissance ne peut plus me servir qu'à me désespérer ; mais sache que ton crime ne demeurera pas impuni, et que le même Ciel dont tu te joues, me saura venger de ta perfidie. |
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| Ah, ah, ah, ah, la bonne bête, et qui y perdra le plus de nous deux, va, va, tu n'es pas si sotte que de faire ce coup-là. |
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| ah, ah, ah, oh bien ce n'est pas cela, c'est que je vous prie de m'écouter, et croyez que je ne suis pas un homme à vous faire perdre vos peines, et que si vous me satisfaisiez sur ce que je veux de vous, je vous donnerai ce que vous voudrez, de l'argent, si vous en voulez. |
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| Ah, Madame, ce sont des bagatelles, et ce n'est pas par là… |
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| Ah, Monsieur, il n'y a pas moyen de vous rencontrer. |
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| Ah, Monsieur, ne cherchons point à démentir ce que nous avons vu des yeux que voilà ; il n'est rien plus véritable que ce signe de tête, et je ne doute point que le Ciel scandalisé de votre vie n'ait produit ce miracle pour vous convaincre, et pour vous retirer de… |
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| Ah, n'allons point songer au mal qui nous peut arriver, et songeons seulement à ce qui peut nous donner du plaisir : la personne dont je te parle est une jeune fiancée, la plus agréable du monde, qui a été conduite ici par celui même qu'elle y vient épouser, et le hasard m'a fait voir le couple d'amants trois ou quatre jours avant leur voyage. |
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| Ah, par ma foi, je n'ai plus envie de rire ; et toutes vos Compagnies font tant de désordre céans, que ce mot est assez pour me mettre en mauvaise humeur. |
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