| Ah ! |
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| Attendez ; si nous avions quelque Femme un peu sur l'âge, qui fût de mon talent, et jouât assez bien pour contrefaire une Dame de qualité, par le moyen d'un train fait à la hâte, et d'un bizarre nom de Marquise, ou de Vicomtesse, que nous supposerions de la Basse Bretagne ; j'aurais assez d'adresse pour faire accroire à votre Père que ce serait une Personne riche, outre ses Maisons, de cent mille écus en argent comptant ; qu'elle serait éperdument amoureuse de lui, et souhaiterait de se voir sa femme, jusqu'à lui donner tout son bien par Contrat de mariage ; et je ne doute point qu'il ne prêtât l'oreille à la proposition ; car enfin, il vous aime fort, je le sais : mais il aime un peu plus l'argent ; et quand ébloui de ce leurre, il aurait une fois consenti à ce qui vous touche, il importerait peu ensuite qu'il se désabusât, en venant à vouloir voir clair aux effets de notre Marquise. |
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| C'est un chef-d'œuvre, que d'avoir inventé un Habit sérieux, qui ne fût pas noir ; et je le donne en six coups aux Tailleurs les plus éclairés. |
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| Ce fut par un motif de Cas de Conscience. |
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| Ce fut une seconde Comédie, que le chagrin de notre ami ; il la donna en galant homme à toute l'assemblée ; et chacun demeura d'accord qu'on ne pouvait pas mieux jouer, qu'il fit. |
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| Ce n'est que pour vous empêcher de vous ruiner ; et sans cela je vois bien qu'avant qu'il fût peu, vous n'auriez pas un sou. |
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| Dont il fut seulement soupçonné dans sa ville, |
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| Et cet Athénien qui fut chez moi vingt mois, |
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| Et j'ai eu un aïeul Bertrand de Sotenville, qui fut si considéré en son temps, que d'avoir permission de vendre tout son bien pour le voyage d'outre-mer. |
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| Et ne trouveriez-vous pas qu'il fût aussi beau de dire, l'exposition du sujet, que la Protase ; le nœud, que l'Épitase ; et le dénouement, que la Péripétie ? |
Question
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| Et se fût moins laissé surprendre à tant d'audace ? |
Question
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| Fut qu'il n'était que Cerf à sa seconde tête. |
Comment
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| Il fallait que ce fût quelque goutte d'Or potable. |
Comment
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| Il ne fut rien, je crois, de si prodigieux, |
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| J'ai douté fort longtemps, que ce fût tout de bon, |
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| J'ai sans doute reçu du Ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'Esprit, de ces galanteries ingénieuses à qui le vulgaire ignorant donne le nom de Fourberies ; et je puis dire sans vanité, qu'on n'a guère vu d'Homme qui fût plus habile Ouvrier de ressorts et d'intrigues ; qui ait acquis plus de gloire que moi dans ce noble Métier : Mais, ma foi, le mérite est trop maltraité aujourd'hui, et j'ai renoncé à toutes choses depuis certain chagrin d'une affaire qui m'arriva. |
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| J'y viens moi morbleu tout exprès, c'est le lieu qu'il me faut, et je souhaiterais que ce fût un Théâtre public, pour vous dire avec plus d'éclat toutes vos vérités. |
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| Jamais Ambassadeur ne fut moins écouté : |
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| Jamais Homme ne fut plus embarrassé que je suis. |
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| Je ne sais : mais je voudrais qu'il fût à tous les Guebles. |
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| Madame, et le destin vous fut bien favorable, |
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| Ne fût du noir Esprit une surprise adroite ; |
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| Oui, jamais il ne fut de si rude surprise, |
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| Qu'il fût à mon cher maître arrivé quelque chose. |
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| Qui fut entre son Prince, et le Roi notre Père. |
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