| À le bien prendre au fond, pourquoi voulez-vous croire, |
Comment
|
| À mon serment, on m'en peut croire. |
Comment
|
| À peine en puis-je croire au rapport de mes yeux ; |
Comment
|
| Aussi vrai, Monsieur, je ne sais comment vous faites quand vous parlez, ce que vous dites me fait aise, et j'aurais toutes les envies du monde de vous croire, mais on m'a toujours dit qu'il ne faut jamais croire les Monsieurs, et que vous autres Courtisans vous êtes des enjôleurs qui ne songez qu'à abuser les filles. |
Comment
|
| Avez-vous, pour le croire, un juste fondement ? |
Question
|
| C'est à une douzaine de messieurs qui déshonorent les gens de Cour par leurs manières extravagantes, et font croire parmi le peuple que nous nous ressemblons tous. |
Comment
|
| Car enfin, s'ils ont lieu, nous voilà réduits à ne nous plus croire ; nos propres sens seront esclaves en toutes choses ; et jusques au manger et au boire, nous n'oserons plus trouver rien de bon, sans le congé de messieurs les experts. |
Comment
|
| Célimène… Eût-on pu croire cette nouvelle ? |
Question
|
| Croire que le Mari… que j'ai su vous élire... |
Comment
|
| Don Juan, vous voyez que j'ai soin de vous rendre le bien que j'ai reçu de vous, et vous pouvez par là juger du reste, et croire que je m'acquitte avec même chaleur de tout ce que je dois, et que je ne serai pas moins exact à vous payer l'injure que le bienfait ; je ne veux point vous obliger à m'expliquer ici vos sentiments, et je vous donne la liberté de penser à loisir aux résolutions que vous avez à prendre ; vous connaissez assez la grandeur de l'offense que vous nous avez faite, et je vous fais juge vous-même des réparations qu'elle demande : il est des moyens doux pour nous satisfaire, il en est de violents et sanglants ; mais enfin, quelque choix que vous fassiez, vous m'avez donné parole de me faire faire raison par Don Juan, songez à me la tenir je vous prie, et vous ressouvenez que hors d'ici je ne dois plus qu'à mon honneur. |
Comment
|
| Elle est fort étonnante et difficile à croire. |
Comment
|
| Est-ce un crime pour lui que de n'oser la croire ? |
Question
|
| Et cela sans intérêt, je vous prie de le croire. |
Comment
|
| Et de croire qu'une âme à la vertu nourrie, |
Comment
|
| Et j'y pouvais un jour, sans trop croire de moi, |
Comment
|
| Et je l'ai mis au point de voir tout, sans rien croire. |
Comment
|
| Et je m'efforcerai, moi, de vous croire telle. |
Comment
|
| Et je vous prie de croire. |
Comment
|
| Et je vous prie de croire. |
Comment
|
| Et l'on veut en jouir, avant que de le croire. |
Comment
|
| Et moi, la bonne dupe, à trop croire un vaurien, |
Comment
|
| Et ne pouvais me croire en cet événement ? |
Question
|
| Et pour vous cette nuit fut trop douce, pour croire |
Comment
|
| Et quel lieu de le croire, à mon Coeur enflammé ? |
Question
|
| Et qui, si l'on peut croire à ce qu'il vient de dire, |
Comment
|