| Bien que de vous mon cœur ne prenne point de loi, |
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| Et cette loi du Ciel que vous nommez cruelle |
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| Et je reçois la Loi qu'il daigne me prescrire, |
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| Et leur bannissement, dont j'accepte la Loi |
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| Il le faut toutefois, le Ciel m'en fait la loi, |
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| N'attend que vos regards pour en prendre la loi, |
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| Ne songez plus à rompre, ou partager la loi : |
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| Oui, je veux bien subir une si juste Loi |
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| Point de quartier : immuable est la Loi. |
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| Sachez Monsieur que tant va la cruche à l'eau qu'enfin elle s'y brise, et comme dit fort bien cet auteur que je ne connais pas, que l'homme est en ce monde ainsi que l'oiseau sur la branche, la branche est attachée à l'arbre, qui s'attache à l'arbre suit de bons préceptes : les bons préceptes valent mieux que les belles paroles, les belles paroles se trouvent à la Cour, à la Cour sont les Courtisans, les Courtisans suivent la mode, la mode vient de la fantaisie, la faculté de l'âme est ce qui nous donne la vie, la vie finit par la mort, la mort nous fait penser au Ciel, le Ciel est au-dessus de la terre, la terre n'est point la mer, la mer est sujette aux orages, les orages tourmentent les vaisseaux, les vaisseaux ont besoin d'un bon pilote, un bon pilote a de la prudence, la prudence n'est point dans les jeunes gens, les jeunes gens doivent obéissance aux vieux, les vieux aiment les richesses, les richesses font les riches, les riches ne sont pas pauvres, les pauvres ont de la nécessité, la nécessité n'a point de loi, qui n'a point de loi vit en bête brute, et par conséquent vous serez damné à tous les Diables. |
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| Si vous m'imposiez cette loi, |
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| Vous me voulez faire la loi, |
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