| Bon, voyons si son feu se rend opiniâtre. |
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| C'est par là que son feu se peut mieux exprimer, |
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| Ce valet vous servait avec beaucoup de feu ; |
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| Cet homme gendarmé d'abord contre mon feu, |
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| Daigne accorder ce soir une grâce à mon feu ; |
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| Dans ce profond respect la grandeur de mon feu ? |
Question
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| Et rallumant un feu qui ne se puisse éteindre, |
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| Et rendez en ami ce service à mon feu. |
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| Et, quoi que l'on reproche au feu qui vous consomme, |
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| Il aurait bien voulu du feu qui le dévore |
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| Il faut d'un premier feu la pureté fidèle, |
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| Il garde la tendresse où son feu le convie, |
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| Je me couchais sans feu dans le fort de l'Hiver, |
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| Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde, vous savez ce que vous faites, et si vous ne croyez rien vous avez vos raisons : il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui sont libertins sans savoir pourquoi, qui font les esprits forts parce qu'ils croient que cela leur sied bien, et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais fort nettement, le regardant en face, osez-vous bien ainsi vous jouer du Ciel, et ne tremblez-vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes c'est bien à vous petit ver de terre, petit myrmidon que vous êtes (je parle au maître que j'ai dit) c'est bien à vous à vouloir vous mêler de tourner en raillerie ce que tous les hommes révèrent ; pensez-vous que pour être de qualité, pour avoir une perruque blonde et bien frisée, des plumes à votre chapeau, un habit bien doré, et des rubans couleur de feu (ce n'est pas à vous que je parle, c'est à l'autre) pensez-vous dis-je que vous en soyez plus habile homme, que tout vous soit permis et qu'on n'ose vous dire vos vérités ? |
Question
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| Je ne vois rien en vous, dont mon feu ne s'augmente. |
Comment
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| Je souffle notre feu. |
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| Je tiens de feu ma femme, et je me sens comme elle |
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| je veux bian, ce m'a-t-il fait, et pour te montrer, vlà argent ser jeu, ce m'a-t-il fait ; moi je n'ai été ni fou ni étourdi, j'ai bravement bouté quatre pièces tapées et cinq sols en double, j'erniguenne, aussi hardiment que si j'avais avalé un vare de vin, car si hasardeux moi, et je vas à la débandade ; je savais bian ce que je faisais pourtant, queuque gniais : enfin donc je n'avais pas plutôt eu gagé, que j'avons vu les deux hommes tous à plein, qui nous faisians signe de les aller quérir, et moi d'hier auparavant les enjeux, allons Lucas, ç'ai-je dit, tu vois bian qu'ils nous appellent, allons viste à leur secours ; non ce m'a-t-il dit, ils m'ont fait pardre ; o dont tanquia, qu'à la parfin, pour le faire court, je l'ai tant sarmonné que je nous sommes boutés dans une barque, et pis j'avons tant fait, cahin caha, que je les avons tiré de gliau, et pis je les avons menés cheu nous, auprès du feu, et pis ils se sont dépouillés tous nus pour se sécher, et pis il y en est encor venu deux de la même bande, qui saguiant sauvés tout seul, et pis Mathurine est arrivée là, à qui l'on a fait les doux yeux ; vlà justement Charlotte comme tout ça s'est fait. |
Comment
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| Jetez‑moi dans le feu tous ces méchants écrits |
Comment
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| L'amour le met en feu, la contrainte le tue,
Et si par la pitié vous n'êtes combattue,
Je meurs, et de la feinte, et de la vérité. |
Comment
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| L'amour le met en feu, la contrainte le tue,
Et si par la pitié vous n'êtes combattue,
Je meurs, et de la feinte, et de la vérité. |
Comment
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| L'amour le met en feu, la contrainte le tue, |
Comment
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| L'amour le met en feu, la contrainte le tue, |
Comment
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| Plus qu'on ne pouvait croire, a servi votre feu. |
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| Que d'un peu de pitié mon feu vous sollicite, |
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