| À chercher le secours des soupirs, et des pleurs, |
Comment
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| Ah, de grâce, ne songe plus à tout cela, et pense à me donner le secours que je te demande. |
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| Ahi, ahi, à l'aide, au meurtre, au secours, on m'assomme, |
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| Au secours, à la force. |
Comment
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| Au secours, au secours, où fuirai-je ? |
Question
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| au secours, je vous prie ! |
Comment
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| Commande le secours que son Père vous donne. |
Comment
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| Daigne venir lui-même à mon secours ! |
Comment
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| En un mot, il languit le pauvre misérable ;
Et s'il faut, poursuivit la vieille charitable,
Que votre cruauté lui refuse un secours,
C'est un homme à porter en terre dans deux jours. |
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| En vain de la Raison les secours sont offerts, |
Comment
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| Et contre cet hymen ouvre-moi du secours. |
Comment
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| Et que le Ciel m'est favorable, de t'envoyer à mon secours ! |
Comment
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| Et si c'était quelqu'une, où par votre secours |
Comment
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| et si pour m'entretenir même, il faut que maintenant je m'engage de tous côtés ; si je suis réduit avec vous à chercher tous les jours le secours des Marchands, pour avoir moyen de porter des habits raisonnables ? |
Question
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| Hé bien, puisque les choses en sont venues là, je vous déclare, moi, que je ne quitterai point la passion que j'ai pour Mariane ; qu'il n'y a point d'extrémité où je ne m'abandonne, pour vous disputer sa conquête ; et que si vous avez pour vous le consentement d'une mère, j'aurai d'autres secours, peut-être, qui combattront pour moi. |
Comment
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| Il s'est mis d'abord de votre côté, mais maintenant qu'il sait que Madame est à la tête du parti contraire, je pense que vous n'avez qu'à chercher un autre secours. |
Comment
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| Il se tiendra sur ses gardes assurément ; et il a des Parents, des Amis, et des Domestiques, dont il se fera un secours contre votre ressentiment. |
Comment
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| J'ai une tendresse pour vous qui ne saurait souffrir que je vous laisse sans secours. |
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| Je suis à vous, Monsieur. Ô Ciel, par quel secours, |
Comment
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| je veux bian, ce m'a-t-il fait, et pour te montrer, vlà argent ser jeu, ce m'a-t-il fait ; moi je n'ai été ni fou ni étourdi, j'ai bravement bouté quatre pièces tapées et cinq sols en double, j'erniguenne, aussi hardiment que si j'avais avalé un vare de vin, car si hasardeux moi, et je vas à la débandade ; je savais bian ce que je faisais pourtant, queuque gniais : enfin donc je n'avais pas plutôt eu gagé, que j'avons vu les deux hommes tous à plein, qui nous faisians signe de les aller quérir, et moi d'hier auparavant les enjeux, allons Lucas, ç'ai-je dit, tu vois bian qu'ils nous appellent, allons viste à leur secours ; non ce m'a-t-il dit, ils m'ont fait pardre ; o dont tanquia, qu'à la parfin, pour le faire court, je l'ai tant sarmonné que je nous sommes boutés dans une barque, et pis j'avons tant fait, cahin caha, que je les avons tiré de gliau, et pis je les avons menés cheu nous, auprès du feu, et pis ils se sont dépouillés tous nus pour se sécher, et pis il y en est encor venu deux de la même bande, qui saguiant sauvés tout seul, et pis Mathurine est arrivée là, à qui l'on a fait les doux yeux ; vlà justement Charlotte comme tout ça s'est fait. |
Comment
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| Mais pour moi je ne rencontre aucun secours dans ce que je puis être, et l'on me voit dans un état qui n'adoucira pas les volontés d'un Père qui ne regarde que le bien. |
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| Mais, parce qu'il sent bien le secours qu'il me donne, |
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| Mon Maître est un vrai enragé d'aller se présenter à un péril qui ne le cherche pas ; mais ma foi le secours a servi, et les deux ont fait fuir les trois. |
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| mon pauvre Scapin, j'implore ton secours. |
Comment
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| On voit par la fuite de ces voleurs de quel secours est votre bras, Monsieur ; que je vous rends grâce d'une action si généreuse et que… |
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