| À moins que l'on se jette à la tête des Hommes. |
Comment
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| Aga, quien, Charlotte, je m'en vas te conter tout fin drai comme cela est venu ça, comme dit l'autre, je les ai le premier avisés, avisés le premier je les ai ; enfin donc j'équions sur le bord de la mar, mo et le gros Lucas, et je nous amusions à batifoler avé des mottes de tarre, que je nous jesquions à la tête ; car comme tu sais bian, le gros Lucas aime à batifoler, et moi per fois je batifole i tou ; en batifolant donc, pisque batifoler y a, j'ai aperçu de tout loin queuque chose qui grouillait dans glieau, et qui venait comme envars nous per secousse, je voyais ça fisiblement, et pis tout d'un coup je voyais que je ne voyais plus rien ; eh Lucas ! ç'ay je fait, je pense que vlà des hommes qui nageant là-bas ; voire ce m'a-t-il fait, t'as été au trepassement d'un chat, t'as la vue trouble ; pal sanguienne, ç'ai je fait, je n'ai point la vue trouble, ce sont des hommes ; point du tout ce m'a-t-il fait, t'as la barlue ; veux tu gager, ç'ai je fait, que je n'ai point la barlue, ç'ai je fait, et que ce sont des hommes, ç'ai je fait qui nageant drai ici, ç'ai je fait ; morguenne ce m'a-t-il fait, je gage que non ; o ça ç'ai je fait, veux tu gager dix sols que si ? |
Question
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| Ah, Maître Jacques, tu lui peux assurer, que s'il m'accorde Mariane, il me verra toujours le plus soumis de tous les hommes ; et que jamais je ne ferai aucune chose que par ses volontés. |
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| Ah, mon pauvre Scapin, je suis perdu ; je suis désespéré ; je suis le plus infortuné de tous les Hommes. |
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| Belle croyance, et les beaux articles de foi que voici ; votre religion à ce que je vois, est donc l'arithmétique ; il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes, et que pour avoir étudié on est bien moins sage le plus souvent ; pour moi Monsieur, je n'ai point étudié comme vous, Dieu merci, et personne ne se saurait vanter de m'avoir jamais rien appris ; mais avec mon petit sens et mon petit jugement je vois les choses mieux que tous vos livres, et je comprends fort bien que ce monde, que nous voyons, n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit. |
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| C'est un crime à blesser les Hommes, et les Dieux ; |
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| C'est une des grandes erreurs qui soit parmi les hommes. |
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| Car enfin, je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en Vers la Fortune, accuser les Destins, et dire des injures aux Dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le Théâtre les défauts de tout le monde. |
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| Ce n'est pas de vaine gloire, et de condition, que les hommes doivent disputer entre eux ; et ce qui nous distingue parfaitement les uns des autres, c'est la Sagesse, et la Vertu. |
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| De la méchanceté des Hommes de notre Âge. |
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| Des hommes en amour d'une humeur si souffrante, |
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| Douze hommes à cheval vous cherchent, qui doivent arriver ici dans un moment ; je ne sais pas par quel moyen ils peuvent vous avoir suivi, mais j'ai appris cette nouvelle d'un paysan qu'ils ont interrogé, et auquel ils vous ont dépeint ; l'affaire presse, et le plutôt que vous pourrez sortir d'ici sera le meilleur. |
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| Elle traite de la Félicité ; Enseigne aux Hommes à modérer leurs passions, et… |
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| Enfin je m'en vais être le plus heureux de tous les hommes, et je ne changerais pas mon bonheur à toutes les choses du monde : que de plaisirs, que de plaisirs, quand vous serez ma femme, et que ! |
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| Et je veux me tirer du Commerce des Hommes. |
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| Et les hommes seraient, sans cela, trop heureux. |
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| et les Hommes sont bien traîtres et scélérats ! |
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| Et les Hommes, morbleu, sont faits de cette sorte ! |
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| Et près de vous ce sont des Sots, que tous les Hommes. |
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| Et quand un Homme voit d'autres Hommes parfois, |
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| Et si vous aviez voulu m'écouter, ne vous aurais-je pas dit que l'aventure dont vous vous plaignez, a été causée ce matin par la présence d'une vieille Tante, qui veut à toute force, que la seule approche d'un Homme déshonore une Fille ; Qui perpétuellement nous sermonne sur ce chapitre, et nous figure tous les Hommes comme des Diables qu'il faut fuir. |
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| Foin de notre sottise, et peste soit des hommes. |
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| Il faut avouer que je suis le plus malheureux de tous les hommes, j'ai une femme qui me fait enrager au lieu de me donner du soulagement, et de faire les choses à mon souhait, elle me fait donner au diable vingt fois le jour, au lieu de se tenir à la maison, elle aime la promenade, la bonne chère, et fréquente je ne sais quelle sorte de gens, ah pauvre Barbouillé, que tu es misérable, il faut pourtant la punir. |
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| Il faut des présents des hommes
Qu'elle se défende bien. |
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| Il faut des présents des hommes |
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