| À son aimable nièce a défendu ma vue, |
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| Adieu, nous boirons pinte à la première vue. |
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| Ah Nourrice de mon cœur, je suis ravi de cette rencontre : et votre vue est la Rhubarbe, la Casse et le Séné qui purgent toute la Mélancolie de mon Âme. |
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| Ayant sur Trufaldin tenu longtemps la vue ; |
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| Car enfin cette vue est fâcheuse à souffrir, |
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| Ce Monsieur le Comte qui va chez elle, lui donne peut-être dans la vue ; et son esprit, je le vois bien, se laisse éblouir à la qualité. |
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| Ce sera tantôt que vous jouirez à votre aise du plaisir de sa vue, et vos yeux auront tout le temps de se satisfaire. |
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| Celui dont l'entretien vous a fait, à ma vue, |
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| Cette vue, en effet, surprend au dernier point, |
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| Comme il baisse la vue ! |
Comment
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| Comment il vous a vue ? |
Question
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| Comment il vous a vue ? |
Question
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| De quel œil la traîtresse a soutenu ma vue, |
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| Dès que par Trufaldin ma bague sera vue, |
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| Et ce dont on chérit la vue, |
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| Et grande, je l'ai vue à tel point innocente, |
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| Et lorsque par leur vue il amuse et suspend |
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| et s'il faut dire ce que je sens, que j'appréhende cette vue ! |
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| Et vous avez de quoi vous passer de ma vue. |
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| Et, si de cette vue on n'accroît son dédain, |
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| Il est indigne de la vue des gens d'honneur, et puis je ne le saurais souffrir auprès de moi. |
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| Il lui mit, l'ayant vue, une petite goutte de je ne sais quoi dans la Bouche : et dans le même instant, Elle se leva de son Lit, et se mit, aussitôt, à se promener dans sa Chambre, comme si de rien n'eût été. |
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| Il y a là de quoi satisfaire à la vue ; et c'est ainsi qu'il faut être fait, et vêtu, pour donner de l'amour. |
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| Ils m'offrent des plaisirs, en m'offrant votre vue : |
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| Ils surprennent la vue et nos prés au Printemps |
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