| Allons il s'agit seulement de désabuser le père et la mère et je pourrai trouver peut-être quelque moyen d y réussir. |
Comment
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| Allons vite faire part de notre joie à votre Mère. |
Comment
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| Allons, il faut que sans tarder, j'envoie appeler son père et sa mère, et que cette aventure me serve à me faire séparer d'elle. |
Comment
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| C'est vous que ma mère a tant pleuré ? |
Question
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| Ce changement sans doute irritera ma Mère. |
Comment
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| Cent fois plus qu'il ne fait Mère, Fils, Fille, et Femme. |
Comment
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| Comme j'ai commerce chez elles, je les ai à fond l'une et l'autre entretenues de vous, et j'ai dit à la Mère le dessein que vous aviez conçu pour Mariane, à la voir passer dans la rue, et prendre l'air à sa fenêtre. |
Comment
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| Elle faisait fondre chacun en larmes, en se jetant amoureusement sur le corps de cette Mourante, qu'elle appelait sa chère Mère ; et il n'y avait Personne qui n'eût l'âme percée, de voir un si bon naturel. |
Comment
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| Elle se nomme Mariane, et vit sous la conduite d'une bonne Femme de Mère, qui est presque toujours malade, et pour qui cette aimable Fille a des sentiments d'amitié qui ne sont pas imaginables. |
Comment
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| Et je verrais mourir Frère, Enfants, Mère, et Femme, |
Comment
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| Et ma mère ne put m'éclaircir mieux la chose. |
Comment
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| Et principalement notre Mère étant morte, dont on ne peut m'ôter le bien. |
Comment
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| Expliquez-vous, mon gendre, nous ne sommes point gens à la supporter dans de mauvaises actions, et nous serons les premiers, sa mère et moi, à vous en faire la justice. |
Comment
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| Hé bien, puisque les choses en sont venues là, je vous déclare, moi, que je ne quitterai point la passion que j'ai pour Mariane ; qu'il n'y a point d'extrémité où je ne m'abandonne, pour vous disputer sa conquête ; et que si vous avez pour vous le consentement d'une mère, j'aurai d'autres secours, peut-être, qui combattront pour moi. |
Comment
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| Hé bien, vous le voyez, ma Mère, si j'ai droit ; |
Comment
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| Il est bien vrai que tous les jours il nous donne, de plus en plus, sujet de regretter la mort de notre Mère, et que… |
Comment
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| Il me faut de ce pas aller faire mes plaintes au père et à la mère, et les rendre témoins à telle fin que de raison, des sujets de chagrin et de ressentiment que leur fille me donne. |
Comment
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| Je devais donc, ma Mère, attendre qu'à mes yeux |
Comment
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| je ne me souviens plus déjà de tous les déplaisirs que vous m'avez donnés, et tout est effacé par les paroles que vous venez de me faire entendre ; je ne me sens pas, je l'avoue, je jette des larmes de joie, tous mes vœux sont satisfaits, et je n'ai plus rien désormais à demander au Ciel ; embrassez-moi et persistez je vous conjure dans cette louable pensée ; pour moi je m'en vais tout de ce pas porter l'heureuse nouvelle à votre mère, partager avec elle les doux transports de ravissement où je suis, et rendre grâce au Ciel des saintes résolutions qu'il a daigné vous inspirer. |
Comment
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| Je ne sais pas, si vous n'étiez ma Mère, |
Comment
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| Je ne veux point m'excuser par là d'être coupable envers vous, et je vous prie seulement d'oublier une offense, dont je vous demande pardon de tout mon cœur ; et de m'épargner en cette rencontre le déplaisir que me pourraient causer les reproches fâcheux de mon père et de ma mère. |
Comment
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| Je voudrais bien vous demander qui a fait ces orbes-là, ces rochers, cette terre, et ce Ciel que voilà là-haut, et si tout cela s'est bâti de lui-même ; vous voilà vous par exemple, vous êtes là ; est-ce que vous vous êtes fait tout seul, et n'a-t-il pas fallu que votre père ait engrossé votre mère pour vous faire ? |
Question
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| Jour de Dieu, je l'étranglerais de mes propres mains, s'il fallait qu'elle forlignât de l'honnêteté de sa mère. |
Comment
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| L'amour du Fils a fait la haine de la Mère, |
Comment
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| Le Ciel ne nous fit point aussi périr dans ce triste naufrage ; mais il ne nous sauva la vie que par la perte de notre liberté ; et ce furent des corsaires qui nous recueillirent, ma Mère et moi, sur un débris de notre Vaisseau. |
Comment
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