| Ce n'est à dire vrai, que parce que je crains |
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| Et ce secret sans doute est celui que je crains. |
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| Et je le crains plus que la Mort ! |
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| J'aime et je crains qu'on ne s'impatiente. |
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| je crains bien que j'y perde mes soins, |
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| Je crains cent accidents qui peuvent arriver. |
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| Je crains que le pendard, dans ses vœux téméraires, |
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| Je veux croire que vous sentez ce que vous dites, et je ne doute point que vos paroles ne soient sincères ; mais je crains un pouvoir, qui combattra dans votre cœur les tendres sentiments que vous pouvez avoir pour moi. |
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| Jerniguenne, je ne crains personne. |
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| Mais je crains que mon Frère y puisse trop devoir. |
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| Mais quand je crains pour vous, c'est cette raillerie |
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| Monsieur Gorgibus, je ne crois pas que vous le trouviez à présent ; et puis je ne resterai pas chez vous ; je crains trop sa colère. |
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| Non, je serai prudent, te dis‑je, ne crains rien, |
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| Ou redoute un courroux que moi-même je crains. |
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| Oui, mais en opérant, je crains qu'il ne l'étouffe. |
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| Pour moi je ne crains pas, que je vous importune, |
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| Pour son amour, je crains une disgrâce, |
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| Son Père me l'a accordée ; mais je crains un peu ce que vous savez, la disgrâce dont on ne plaint Personne ; et je voudrais bien vous prier, comme Philosophe, de me dire votre sentiment. |
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| Tantôt je crains de voir, par la fourbe éventée, |
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| Va, va, petit mari : ne crains rien de ma foi : |
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