| Mon Gendre, le Fils du Grand Turc ! |
Comment
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| mon Gendre, soyez le bienvenu ! |
Comment
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| Ne comptez-vous rien, mon gendre, l'avantage d'être allié à la maison de Sotenville ? |
Question
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| Oui ; et il veut être votre Gendre. |
Comment
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| Oui, mon gendre, il est vrai. |
Comment
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| Oui, mon gendre, il est vrai. |
Comment
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| Oui, notre gendre, elle est votre femme, mais il ne vous est pas permis de l'appeler ainsi, et c'est tout ce que vous pourriez faire, si vous aviez épousé une de vos pareilles. |
Comment
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| Parbleu, si vous m'appelez votre gendre, il me semble que je puis vous appeler ma belle-mère. |
Comment
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| Pour être votre Gendre, a parole de vous. |
Comment
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| Qu'est-ce, mon gendre ? |
Question
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| Qu'est-ce, mon gendre ? |
Question
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| Que veut dire cela, mon gendre ? |
Question
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| Sachons un peu, mon gendre, ce que vous avez dans l'esprit. |
Comment
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| Sans doute, notre gendre, et vous devez maintenant être le plus content des hommes. |
Comment
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| Suivez-moi, mon gendre, et ne vous mettez pas en peine, vous verrez de quel bois nous nous chauffons lorsqu'on s'attaque à ceux qui nous peuvent appartenir. |
Comment
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| Tu as raison ; mais je ne croyais pas qu'il fallût faire ses preuves de Noblesse, pour être Gendre de Monsieur Jourdain. |
Comment
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| Un bon et franc Ami, que pour Gendre je prends, |
Comment
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| Voilà, mon gendre, comme il faut pousser les choses. |
Comment
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| Vous lui devez chacune un Gendre, et des Neveux, |
Comment
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| Vous méritez, mon gendre, qu'on vous dise ces choses-là, et votre procédé met tout le monde contre vous. |
Comment
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| Vous refusez Son Altesse Turque pour Gendre ? |
Question
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| Vous voilà satisfait, mon gendre, que dites-vous à cela ? |
Question
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